Une femme à couilles
Ça fout la trouille !
Et pourtant
C’est un compliment.
« C’est qu’elle en a »
Du cran ? C’est cela ?
Non des couilles, une paire
Une guerrière, c’est clair !
Pourquoi des couilles me direz-vous ?
Pisser au vent…tout simplement !
Voilà leur privilège
Dos au vent et partout
Dos au passant, balèze !
Sans elles, on fait la queue
Et attend sagement
Tout en vociférant
Pisser assis, vicieux !
Seules crédibles au macho, assurément !
Des couilles, quel privilège !
Faible femme qui ne comprend que dalle
Sans elles, n’est pas crédible ; « abrège »
Dit le couillu sans vergogne
Et elle, qui n’en a, se renfrogne.
Jurer et être lourdes !
Elles peuvent être grossières
Couilles « charretières » amusent la galerie.
Sans elles, la grossièreté ce n’est pas du joli
Et le macho contrit, pense que tout est permis
« Lourde ? c’est qu’elle veut mes parties »
Marrant avec, compère,
Sans couilles, elle bien trop vulgaire !
Voilà 3 bonnes raisons
De n’pas vouloir de con
Et d’envier ces belles couilles
Pour leur foutre la trouille !
